L’incertitude est au cœur de notre exercice : ai-je posé le bon diagnostic ? Poser ce diagnostic rend-il réellement service au patient, à ses proches, à la société ? Ai-je réalisé le bon examen ? Choisi le bon traitement ? S’agit-il d’un symptôme résiduel, ou bien d’un effet indésirable du traitement ? Faut-il arrêter le traitement ou le poursuivre, et si oui combien de temps ?