Psychiatrie clinique, biologique et thérapeutique

Risque accru de TDAH ou de TSA chez les enfants de mères présentant des troubles de l'alimentation

Publié le jeudi 20 janvier 2022

WASHINGTON, 20 janvier 2022 (APMnews) - Les enfants dont la mère présente des troubles de l'alimentation semblent avoir un risque accru de développer un trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) ou un trouble du spectre de l'autisme (TSA), selon une étude suédoise.

Accédez à ce contenu en vous identifiant

Entrez vos identifiants

Mot de passe oublié?

Pas encore inscrit ? Créer votre compte

  • Accédez aux ressources du congrès
  • Regardez les vidéos des sessions sélectionnées
  • Consultez la bibliothèque de cas
  • Et encore plus...
Inscrivez-vous !
Dépêche précédente

Isolement et contention en psychiatrie: l'état du droit applicable depuis le 1er janvier

Dépêche suivante

Santé mentale et psychiatrie: "La donne a changé pour les professionnels" (Olivier Véran)

0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire

Dernières actualités

Regard sur les amphétamines et le TDAH

Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.

Économiser sa salive : des solutions pour les patients sous clozapine

L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.

Anxiété et insomnie chez les seniors : comment se passer des benzodiazépines ?

L'ANSM a rappelé les dangers de l'usage des benzodiazépines chez les seniors pour traiter l'anxiété ou l'insomnie. Quelles sont les alternatives ?

IA, Machine Learning & Psychiatrie

L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.