Psychiatrie clinique, biologique et thérapeutique

TDAH : le recours au méthylphénidate et à l'orthophonie plus élevé chez les enfants nés en décembre

Publié le jeudi 20 juin 2024

PARIS, 20 juin 2024 (APMnews) - Chez les enfants avec un trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) ou des troubles spécifiques du langage et des apprentissages (TSLA), les risques de commencer un traitement par méthylphénidate et de suivre des séances d'orthophonie augmentent chez ceux nés en décembre par rapport à ceux nés en janvier de la même année, selon une étude française menée par le groupement d'intérêt scientifique (GIS) Epi-Phare.

Accédez à ce contenu en vous identifiant

Entrez vos identifiants

Mot de passe oublié?

Pas encore inscrit ? Créer votre compte

  • Accédez aux ressources du congrès
  • Regardez les vidéos des sessions sélectionnées
  • Consultez la bibliothèque de cas
  • Et encore plus...
Inscrivez-vous !
Dépêche précédente

TDAH : la prise en charge des adultes progresse mais de manière insuffisante

Dépêche suivante

Alzheimer et démences : les UCC encore méconnues dans le parcours des personnes âgées, mais avec un rôle souvent élargi (AP-HP)

0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire

Dernières actualités

Regard sur les amphétamines et le TDAH

Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.

Économiser sa salive : des solutions pour les patients sous clozapine

L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.

Anxiété et insomnie chez les seniors : comment se passer des benzodiazépines ?

L'ANSM a rappelé les dangers de l'usage des benzodiazépines chez les seniors pour traiter l'anxiété ou l'insomnie. Quelles sont les alternatives ?

IA, Machine Learning & Psychiatrie

L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.