Le professeur Antoine Pelissolo aborde la question de l’usage, le mésusage, les durées de traitement de la famille des médicaments hypnotiques et anxiolytiques, notamment les benzodiazépines.
L'ANSM lance une campagne de sensibilisation sur l'usage des benzodiazépines, prescrits trop souvent et trop longtemps pour traiter l'anxiété ou l'insomnie.
L'analyse montre une augmentation des recours aux soins de santé mentale et de prescriptions de psychotropes chez les jeunes entre 2016 et 2022, accentuée post-Covid-19, et avec des disparités en fonction de l'âge et du sexe.
Les résultats suggèrent d'encourager l'exercice physique comme option thérapeutique sûre, accessible et peu coûteuse dans la prise en charge de la santé mentale du post-partum, concluent les experts.
Il est possible de réduire la sévérité d'une insomnie en arrêtant les hypnotiques de manière progressive sans que les patients connaissent les doses décroissantes administrées et en y associant une thérapie cognitivocomportementale (TCC), selon les résultats d'un essai clinique américain.
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
Très présent chez les schizophrènes, le risque de suicide pourrait être impacté par certaines variantes génétiques selon des études récentes, décryptées par Jean-Del Burdairon.