Tandis que les partisans de l’approche « dimensionnelle » des troubles mentaux postulent qu’il existe une continuité réelle qui va du normal au pathologique, les partisans de l’approche « catégorielle » postulent qu’il existe a minima une zone de rareté statistique qui isole relativement certains troubles mentaux et qui justifie ontologiquement la distinction entre le normal et le pathologique.