Psychiatrie clinique, biologique et thérapeutique

Une thérapie numérique utilisant un avatar semble réduire la détresse induite par des hallucinations auditives

Publié le jeudi 14 novembre 2024

LONDRES, 7 novembre 2024 (APMnews) - Chez les patients souffrant d'hallucinations auditives, une thérapie numérique utilisant un avatar pour incarner les voix qu'ils entendent permet de réduire la détresse qu'elles génèrent, selon les résultats d'un essai clinique britannique.

Accédez à ce contenu en vous identifiant

Entrez vos identifiants

Mot de passe oublié?

Pas encore inscrit ? Créer votre compte

  • Accédez aux ressources du congrès
  • Regardez les vidéos des sessions sélectionnées
  • Consultez la bibliothèque de cas
  • Et encore plus...
Inscrivez-vous !
Dépêche précédente

Remédiation cognitive et stimulation transcrânienne à courant direct efficaces sur le déclin cognitif chez les seniors

Dépêche suivante

Des services virtuels de santé mentale associés à une réduction des événements suicidaires

0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire

Dernières actualités

Regard sur les amphétamines et le TDAH

Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.

Économiser sa salive : des solutions pour les patients sous clozapine

L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.

Anxiété et insomnie chez les seniors : comment se passer des benzodiazépines ?

L'ANSM a rappelé les dangers de l'usage des benzodiazépines chez les seniors pour traiter l'anxiété ou l'insomnie. Quelles sont les alternatives ?

IA, Machine Learning & Psychiatrie

L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.