WASHINGTON, 31 juillet 2019 (APMnews) - Un programme de suivi de patients âgés atteints de démence par télémédecine semble permettre des interventions pour des soins aigus à domicile et réduire le recours aux urgences, suggère une étude américaine.
Une étude française révèle que le nombre de troubles psychiatriques a un impact sur le risque de démence : 2 fois plus de risques chez les personnes ayant 2 comorbidités, 11 fois plus avec 4 comorbidités ou plus.
Le recours en soins primaires à l'algorithme eRADAR a permis d'identifier une population dont la moitié était effectivement sujette à des altérations cognitives de type MCI (déclin cognitif léger) ou démence.
Cette méta-analyse suggère que les interventions musicales semblent réduire la dépression et les troubles comportementaux chez les patients atteints de démence, mais d'autres études sont nécessaires pour évaluer en particulier la durée de l'effet en fonction du nombre de séances, concluent les auteurs.
Les résultats suggèrent qu'un traitement combinant remédiation cognitive et tDCS ciblant le cortex préfrontal chez des patients âgés à risque de déclin cognitif est efficace, en particulier sur la fonction exécutive et la mémoire verbale, concluent les chercheurs
L'aromathérapie, notamment associée à des massages, semble efficace pour réduire les troubles comportementaux et psychologiques chez les patients atteints de démence, selon une méta-analyse menée par des chercheurs taïwanais.
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
Très présent chez les schizophrènes, le risque de suicide pourrait être impacté par certaines variantes génétiques selon des études récentes, décryptées par Jean-Del Burdairon.
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