Thomas Schwitzer et Patrice Bourgin nous proposent une vision globale sur le rôle que la rétine peut jouer en psychiatrie : si le premier s'intéresse à l'étude du signal électrophysiologique, qui pourrait permettre de prédire l'efficacité des traitements, l'autre préfère se concentrer sur les fonctions non-visuelles de la lumière, et notamment l'intérêt du marqueur de la réponse mélanopsinergique : la réponse pupillaire post-illumination (PIPR).
En France, la pair-aidance familiale se développe avec succès, offrant des perspectives prometteu...
Ce topo nous plonge plus profondément dans la compréhension de la physiopathologie de l'obésité,...
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