De "grosses comorbidités psychiatriques" ont été observées chez les chemsexeurs reçus depuis 2018 en consultation spécialisée à l'hôpital Saint-Antoine de Paris, deux tiers ayant déjà consulté un psychiatre, la moitié étant sous antidépresseurs et un quart ayant déjà été hospitalisés en psychiatrie.
Publié le jeudi 4 janvier 2024