Psychiatrie clinique, biologique et thérapeutique

Antidépresseurs: le risque d'hyponatrémie moins important avec la mirtazapine (méta-analyse)

Publié le mardi 16 avril 2024

BUDAPEST, 15 avril 2024 (APMnews) - L'analyse du risque d'hyponatrémie associé à différents antidépresseurs a permis d'identifier la mirtazapine comme traitement à privilégier chez les patients susceptibles d'être sujets à cette baisse du taux de sodium dans le sang, selon une méta-analyse présentée la semaine dernière au congrès de l'European Psychiatric Association (EPA), à Budapest.

Accédez à ce contenu en vous identifiant

Entrez vos identifiants

Mot de passe oublié?

Pas encore inscrit ? Créer votre compte

  • Accédez aux ressources du congrès
  • Regardez les vidéos des sessions sélectionnées
  • Consultez la bibliothèque de cas
  • Et encore plus...
Inscrivez-vous !
Dépêche précédente

Troubles de la personnalité: deux stratégies thérapeutiques efficaces pour réduire le recours hospitalier

Dépêche suivante

Le bénéfice du lécanémab dans la maladie d'Alzheimer débutante semble se poursuivre à deux ans

0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire

Dernières actualités

Regard sur les amphétamines et le TDAH

Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.

Économiser sa salive : des solutions pour les patients sous clozapine

L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.

Anxiété et insomnie chez les seniors : comment se passer des benzodiazépines ?

L'ANSM a rappelé les dangers de l'usage des benzodiazépines chez les seniors pour traiter l'anxiété ou l'insomnie. Quelles sont les alternatives ?

IA, Machine Learning & Psychiatrie

L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.