WASHINGTON, 23 août 2019 (APMnews) - Les "exergames", des exercices physiques réalisés dans un environnement virtuel, semblent réduire le niveau de fragilité de patients atteints de démence, suggère un essai clinique néerlandais.
Une étude française révèle que le nombre de troubles psychiatriques a un impact sur le risque de démence : 2 fois plus de risques chez les personnes ayant 2 comorbidités, 11 fois plus avec 4 comorbidités ou plus.
Le recours en soins primaires à l'algorithme eRADAR a permis d'identifier une population dont la moitié était effectivement sujette à des altérations cognitives de type MCI (déclin cognitif léger) ou démence.
Cette méta-analyse suggère que les interventions musicales semblent réduire la dépression et les troubles comportementaux chez les patients atteints de démence, mais d'autres études sont nécessaires pour évaluer en particulier la durée de l'effet en fonction du nombre de séances, concluent les auteurs.
Les résultats suggèrent qu'un traitement combinant remédiation cognitive et tDCS ciblant le cortex préfrontal chez des patients âgés à risque de déclin cognitif est efficace, en particulier sur la fonction exécutive et la mémoire verbale, concluent les chercheurs
L'aromathérapie, notamment associée à des massages, semble efficace pour réduire les troubles comportementaux et psychologiques chez les patients atteints de démence, selon une méta-analyse menée par des chercheurs taïwanais.
Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.
L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire