Psychiatrie clinique, biologique et thérapeutique

Premiers résultats encourageants pour la dextrométhadone dans les épisodes dépressifs résistants

Publié le mardi 29 octobre 2019

NEW YORK, 16 octobre 2019 (APMnews) - La dextrométhadone ou REL-1017 a diminué la sévérité des épisodes dépressifs en une semaine de traitement, dans un essai clinique de phase II dont les résultats sont annoncés par l'entreprise de biotechnologies américaine Relmada Therapeutics.

Accédez à ce contenu en vous identifiant

Entrez vos identifiants

Mot de passe oublié?

Pas encore inscrit ? Créer votre compte

  • Accédez aux ressources du congrès
  • Regardez les vidéos des sessions sélectionnées
  • Consultez la bibliothèque de cas
  • Et encore plus...
Inscrivez-vous !
Dépêche précédente

Un régime alimentaire sain est associé à une baisse des symptômes dépressifs dans une étude randomisée contrôlée

Dépêche suivante

Premiers résultats encourageants pour la dextrométhadone dans les épisodes dépressifs résistants

0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire

Dernières actualités

Regard sur les amphétamines et le TDAH

Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.

Économiser sa salive : des solutions pour les patients sous clozapine

L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.

Anxiété et insomnie chez les seniors : comment se passer des benzodiazépines ?

L'ANSM a rappelé les dangers de l'usage des benzodiazépines chez les seniors pour traiter l'anxiété ou l'insomnie. Quelles sont les alternatives ?

IA, Machine Learning & Psychiatrie

L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.