Psychiatrie clinique, biologique et thérapeutique

Risque de diabète de type 2 confirmé avec des antidépresseurs chez les jeunes mais d'ampleur limitée

Publié le mardi 29 septembre 2020

WASHINGTON, 16 septembre 2020 (APMnews) - Les antidépresseurs de la famille des inhibiteurs de la recapture sélective de la sérotonine (ISRS) sont associés à un risque accru de diabète de type 2 chez les enfants et adolescents, confirme une étude américaine qui tempère toutefois l'ampleur de l'effet.

Accédez à ce contenu en vous identifiant

Entrez vos identifiants

Mot de passe oublié?

Pas encore inscrit ? Créer votre compte

  • Accédez aux ressources du congrès
  • Regardez les vidéos des sessions sélectionnées
  • Consultez la bibliothèque de cas
  • Et encore plus...
Inscrivez-vous !
Dépêche précédente

L'électroconvulsivothérapie réduit le risque de suicide chez les patients bipolaires

Dépêche suivante

Psycho pop, un programme audio sur les troubles psychiques dans la culture pop

0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire

Dernières actualités

Regard sur les amphétamines et le TDAH

Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.

Économiser sa salive : des solutions pour les patients sous clozapine

L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.

Anxiété et insomnie chez les seniors : comment se passer des benzodiazépines ?

L'ANSM a rappelé les dangers de l'usage des benzodiazépines chez les seniors pour traiter l'anxiété ou l'insomnie. Quelles sont les alternatives ?

IA, Machine Learning & Psychiatrie

L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.