Au vu des aspects positifs de l'hypomanie (augmentation de l'activité, de l'estime de soi, réduction du temps de sommeil, sentiment de bien-être), devrait-on traiter un patient en phase d'hypomanie ? Cet état reste néanmoins pathologique, incluant de nombreuses prises de risque (excès de consommation de toxiques, conduites à risque, conflits interpersonnels...) mais aussi avec une évolution possible vers la manie ou une dépression. Dans ce cas comment la traiter ? Marc Masson propose ici des éléments de réponse.
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