Philippe Courtet traite la question du cerveau social, du retentissement sur la santé de la déconnexion sociale et la solitude, et des résultats d’études sur l’effet des antalgiques, du toucher, du rire sur la douleur sociale…
Selon les auteurs, le taux de patients ayant bénéficié d'une "évaluation de la douleur somatique avec une échelle et [de] sa prise en charge" dans les établissements autorisés en psychiatrie est "encore insuffisant et justifie de poursuivre l'utilisation de cet indicateur en 2025"
La baisse visuelle et une hypercholestérolémie représentent deux nouveaux facteurs de démence modifiables, ce qui porte à 14 le nombre total de facteurs de risque sur lesquels agir afin de prévenir ou retarder près de la moitié des cas de démence dans le monde, écrit une commission d'experts du Lancet.
Les personnes qui connaissent un isolement social croissant sur quelques années présentent un risque accru de décès, de handicap et de démence par rapport à celles dont l'isolement social reste stable ou diminue, selon une étude américaine.
Les auteurs de l'étude émettent "l'hypothèse d'un biais de diagnostic du TDAH et des TSLA dû à une immaturité relative des natifs de fin d'année comparée une maturité plus grande des natifs de début d'année", conduisant à un excès de diagnostic pour les uns et à un défaut de diagnostic pour les autres.
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
Très présent chez les schizophrènes, le risque de suicide pourrait être impacté par certaines variantes génétiques selon des études récentes, décryptées par Jean-Del Burdairon.
0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire