Psychiatrie clinique, biologique et thérapeutique

Comment (mieux) prendre en charge les patients pour motif psychiatrique aux urgences générales ?

Publié le mercredi 5 février 2025

dans

PARIS, 24 janvier 2025 (APMnews) - Déplorant les nombreux "points d'achoppement" dans la prise en charge psychiatrique du patient au sein des urgences générales, la Dr Pauline Guillemet-Senkel a évoqué une série de leviers afin de favoriser une "meilleure coopération entre psychiatres et urgentistes", lors d'une session organisée au congrès de l'Encéphale.

Accédez à ce contenu en vous identifiant

Entrez vos identifiants

Mot de passe oublié?

Pas encore inscrit ? Créer votre compte

  • Accédez aux ressources du congrès
  • Regardez les vidéos des sessions sélectionnées
  • Consultez la bibliothèque de cas
  • Et encore plus...
Inscrivez-vous !
Dépêche précédente

Prévalence "élevée et préoccupante" des troubles psychiatriques chez les usagers de drogue (étude française)

Dépêche suivante

Comment (mieux) prendre en charge les patients pour motif psychiatrique aux urgences générales ?

0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire

Dernières actualités

Regard sur les amphétamines et le TDAH

Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.

Économiser sa salive : des solutions pour les patients sous clozapine

L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.

Anxiété et insomnie chez les seniors : comment se passer des benzodiazépines ?

L'ANSM a rappelé les dangers de l'usage des benzodiazépines chez les seniors pour traiter l'anxiété ou l'insomnie. Quelles sont les alternatives ?

IA, Machine Learning & Psychiatrie

L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.