WASHINGTON, 24 octobre 2019 (APMnews) - La stimulation cérébrale profonde a obtenu des résultats encourageants dans la dépression résistante sur 8 années de traitement, dans une étude américaine publiée par l'American Journal of Psychiatry.
Dans un essai clinique de phase III, l'antagoniste du récepteur de l'orexine-2 seltorexant, en association avec un antidépresseur, montre des résultats prometteurs pour la dépression pharmacorésistante.
L'ajout de pramipexole à un antidépresseur semble renforcer l'efficacité du traitement chez des patients atteints de dépression résistante, mais augmenter les évènements indésirables.
Une méta-analyse a démontré que l'électroconvulsivothérapie a pu diminuer le risque de suicide de 34% chez les personnes souffrant de dépression sévère.
L’eskétamine montre des résultats différents selon qu'elle est associée à un ISRS ou IRSN. Une étude en vie réelle éclaire les combinaisons et stratégies thérapeutiques possibles.
La résistance au traitement en cas de dépression post-partum est fréquente et associée à plusieurs facteurs de risque tels que le jeune âge, ou un faible niveau d'éducation ou de revenu, selon une étude suédoise.
Avec une prévalence estimée en France à 5 % chez l'enfant et environ 3 % chez l'adulte, le Trouble Déficit de l'Attention avec/sans Hyperactivité (TDAH) représente un enjeu de santé publique majeur.
L’hypersialorrhée sous clozapine reste un défi fréquent et souvent sous-estimé. Cette revue systématique clarifie les approches thérapeutiques disponibles en France et propose un algorithme pragmatique pour optimiser la prise en charge tout en limitant les effets indésirables.
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
0 commentaire — Identifiez-vous pour laisser un commentaire