Une étude française révèle que le nombre de troubles psychiatriques a un impact sur le risque de démence : 2 fois plus de risques chez les personnes ayant 2 comorbidités, 11 fois plus avec 4 comorbidités ou plus.
Un essai randomisé démontre l'efficacité d'un traitement par sémaglutide pour réduire le taux de glucose sanguin et le poids de patients schizophrènes sans aggraver les symptômes.
L'enquête de l'Institut Montaigne démontre que les jeunes sont massivement touchés par les problèmes de santé mentale et met en lumière des différences selon les régions, le sexe et le niveau de vie.
La psychothérapie assistée par psychédélique s'est montrée sûre et faisable chez des patients atteints d'une dépression et récemment sevrés d'un trouble de l'usage de l'alcool.
Un essai clinique allemand a montré que la rTMS était sûre et efficace pour aider à réduire les hallucinations auditives verbales chez les patients schizophrènes.
Une étude suédoise a associé la prise d'un traitement contre le TDAH a un risque réduit de comportements suicidaires, d'abus de substances psychoactives ou encore de criminalité.
Une instruction publiée au bulletin officiel détaille les composantes du parcours de prise en charge de la dépression post-partum, le suivi et l'évaluation de cette expérimentation.
Le ministère de la Santé présente un plan d’action pour prévenir la contagion suicidaire, avec notamment une stratégie numérique, de la postvention individuelle et collective et mesures de prévention sur les lieux à risque.
Le recours en soins primaires à l'algorithme eRADAR a permis d'identifier une population dont la moitié était effectivement sujette à des altérations cognitives de type MCI (déclin cognitif léger) ou démence.
Selon une étude, commencer le smartphone avant 13 ans exposerai à plus de troubles psychiatriques à l’âge adulte : basse estime de soi, mauvaise gestion des émotions, idées suicidaires...
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
Très présent chez les schizophrènes, le risque de suicide pourrait être impacté par certaines variantes génétiques selon des études récentes, décryptées par Jean-Del Burdairon.