Philippe Courtet traite la question du cerveau social, du retentissement sur la santé de la déconnexion sociale et la solitude, et des résultats d’études sur l’effet des antalgiques, du toucher, du rire sur la douleur sociale…
Léonie Koban parle de l’impact négatif sur la santé du rejet social et de la douleur morale, et comment notre cerveau régule la douleur et les émotions.
Philippe Fossati revient sur la présentation clinique de la dépression du post-partum et fait une synthèse des données que nous avons sur la physiopathologie et les nouvelles pistes thérapeutiques.
Anne-Laure Sutter-Dallay fait un point sur les données de la littérature concernant la dépression périnatale et en particulier la dépression post-partum, les facteurs de risque, et la corrélation entre la santé mentale de la mère et celle de l’enfant.
Zoë Dubus, doctorante en Histoire contemporaine, parle de l’usage du LSD à l’hôpital dans les années 50 et 60, un espoir pour la psychiatrie à l’époque, notamment pour traiter la schizophrénie.
Michael KOSLOWSKI présente divers résultats de recherche concernant les effets des psychédéliques vs. les antidépresseurs et leur potentiel développement comme nouvelle approche thérapeutique en psychiatrie.
Le dr Patrick Le Bihan présente les critères diagnostiques de la paranoïa, les revues de la littérature sur la pharmacothérapie du trouble délirant et la comparaison des traitements.
Le Dr Anne-Hélène Moncany établit le tableau clinique de l’érotomanie qui, peu souvent rencontrée en psychiatrie, peut être difficile à prendre en charge pour les équipes soignantes. Que devient-elle sous traitement ? Quelles sont les données récentes ? Quels risques médico-légaux ?
Mathieu Lacambre évoque le sujet complexe du secret médical et des difficultés que peuvent rencontrer les soignants dans de la prise en charge de patients paranoïaques.
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
Très présent chez les schizophrènes, le risque de suicide pourrait être impacté par certaines variantes génétiques selon des études récentes, décryptées par Jean-Del Burdairon.