Augmentez vos compétences grâce à cette session ! Sébastien Weibel offre la perspective du clinicien sur comment établir un diagnostic et gérer le traitement médicamenteux, en se basant sur les données justifiant le traitement du TDAH de l’adulte. Pour en savoir plus, lire l'a...
Régis Lopez évoque les solutions autres que médicamenteuses pour accompagner l'adulte souffrant d'un TDAH. Il évoque les stratégies d’adaptation à travers diverses approches : thérapies comportementales, thérapies en pleine conscience, approche neurophysiologique, neurostimulation, luminothérapie...
Nathalie Girard-Dephanix fait une étude critique des sciences et de la connaissance scientifique de la méditation en abordant les perspectives historique et épistémologique.
Guido Bondolfi passe en revue les applications cliniques et l’efficacité des interventions basées sur la pleine conscience ainsi que leurs mécanismes d’action et les neurosciences.
Astrid Chevance présente cette session sur le sexe digital qui propose de nous aider à recontextualiser notre pratique de psychiatres dans les évolutions de notre société contemporaine.
Astrid Chevance présente l’unité de recherche Methods qui propose des méthodes pour améliorer les essais cliniques et leurs méta-analyses et les enjeux de la participation des patients à la recherche.
Benoît Majerus présente l'évolution de la voix des patients dans l'histoire de la médecine, il propose ensuite une réflexion sur l'écoute de la voix des patients (en psychiatrie et en histoire) et les enjeux d'intégrer une voix multidisciplinaire dans l'histoire de la médecine.
La médecine factuelle fait-elle une place au jugement clinique du médecin et à la perspective du patient en tant qu’individu ? Olivier Steichen nous éclaire sur le sujet.
L'IA et le machine learning peuvent-ils ouvrir de nouvelles voies pour une psychiatrie de précision ? Jean-Del Burdairon apporte quelques éléments de réponse avec l'exemple de l'électroencéphalographie pour la classification du trouble obsessionnel-compulsif.
Très présent chez les schizophrènes, le risque de suicide pourrait être impacté par certaines variantes génétiques selon des études récentes, décryptées par Jean-Del Burdairon.